
Le procès du 25 janvier prochain de l’ex-président Ould Aziz s’annonce difficile pour un ancien chef d’Etat qui devra répondre d’abord sur la dilapidation des biens de l’Etat, l’obtention d’avantages matériels indus et l’ingérence dans des affaires commerciales incompatibles avec la fonction de président de la République.