
D’habitude très réservé et peu impliqué dans les querelles de chapelle qui secouent à intervalles réguliers le microcosme politique, le premier ministre Mohamed Ould Bilal est monté au créneau à Aleg en proférant des menaces à peine voilées contre les candidats mécontents issus du parti au pouvoir et s’étant présentés sous la bannière d’autres partis de la majorité présidentielle.