En cette période de grande chaleur politique où le pays s'apprête à vivre une énième élection présidentielle qui doit permettre au président Ghazouani de rempiler sans difficulté aucune pour un second mandat, les "pécheurs" en eaux troubles s'activent pour perturber l'atmosphère de quiétude et d'apaisement que le pays connaît depuis août 2019.