Le parti au pouvoir l’UPR avait organisé le dimanche 22 mai un meeting populaire dans la ville économique transformée en free zone. Sous la présidence de son chef Sidi Mohamed ould Maham et en présence, des membres de la fédération régionale,  de plusieurs membres du bureau exécutif et du conseil national ainsi que plusieurs ministres venus expliquer le discours qu’on dit controversé du président à Nema le 3 mai.

Selon nos sources, il était prévu pour le président de visiter aussi le chantier de l’hôpital régional en construction depuis plus de deux ans  sur financement de la Fondation SNIM. Mais cela a été déprogrammé pour des raisons de sécurité, dit-on. D’ailleurs le président ne peut plus venir  à ce chantier sans programmer son inauguration.

Le juge d’instruction du tribunal de la wilaya ouest de Nouakchott a déféré mercredi 11 mai à la prison civile le maire de la commune de Nouadhibou, Mohamed O. Matalla et le trésorier régional de la ville , Daha Sy pour malversations et mauvaise gestion. 

Plusieurs sources concordantes sont fermes. Le maire Mohamed ould MATALLA pourrait être libre dans les 48 heures. Une solution concertée aurait été trouvée quant au remboursement d’un montant de près de 100 millions d’ouguiyas. Ce montant serait sorti des caisses de la mairie entre 2014 et 2015 selon un contrôle dirigé par l’inspecteur Ould BOYAH.

Le Commissariat du PK 55 dit police frontière a pu de justesse mettre la main sur un matériel dangereux de falsification et de multiplication de billets d’argent, apprend-on de source concordante .

Condamné en appel à la peine capitale, Mohamed Cheikh O. M’Khaitir sera à Nouakchott dans deux semaines selon les sources de Sahara Media. 

L’auteur de l’article jugé blasphématoire à l’endroit du prophète Paix et Salut sur Lui, arrive à Nouakchott pour la première fois depuis son arrestation en 2013. 

A Nouadhibou, les habitants limitrophes de l’école du quartier de Dar Essalam étaient surpris ce matin du vendredi 1er avril de la trouvaille. Une femme vient de jeter son enfant, une fillette de près de deux mois, dans un parc jouxtant l’école. Ce sont les cris et pleurs du bébé qui ont attiré l’attention des passants. L’enfant était couvert de manteau et son biberon était à proximité.