Oui, estime-t-on dans une grande partie des hautes sphères de l'État mauritanien. Ce sentiment est même renforcé par le dernier communiqué de l’Ambassade de France déconseillant des quartiers de Nouakchott à ses compatriotes. Mohamed Lemine Ould Cheikh, ministre porte-parole du gouvernement mauritanien ira même jusqu’à parler de communiqué « inamical » et « pas objectif ».